EURO 2012
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Re: EURO 2012
moi j'aime le beau jeu avec la victoire
je pense que del bosqué ce trompe de tactique depuis le début de l'euro , la preuve hier avec la rentré de pedro et navas l'équipe marché beaucoup mieux
je pense que del bosqué ce trompe de tactique depuis le début de l'euro , la preuve hier avec la rentré de pedro et navas l'équipe marché beaucoup mieux
jsk warriors- International
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Re: EURO 2012
ITALIE 2 ( superbes buts de mario balotelli ) - 1 ALLEMAGNE ( ozil )
lily-jsk- Veteran
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Re: EURO 2012
finale de choc : SPAIN - ITALY
lily-jsk- Veteran
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Re: EURO 2012
Je suis trés content ,L'italie est la meilleur equipe de ce tournoi ,elle a encore montré aujordhui que l'italie peut jouer au foot ,au vrai foot .perssonellement Je vois en pirlo le meilleur joueur de ce tournoi ,j espere qu'il gagnéra meme le balon d'or .
matichjsk- Administrateur
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Re: EURO 2012
l’Italie a mérité sa victoire
jsk warriors- International
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Re: EURO 2012
l’Allemagne a fait un non-match hier , elle s'est grippée en un seul match , la différence entre son match d'hier et ses précédents était trop incroyable, sauf quelques essais de khedira en vain , les pseudos tirs de kroos ainsi que podolski et gomez, et quelques montées de boateng , même nueur est sorti de sa cage .
coté italien a part "quand pirlo a dégagé la balle avec la main et que ça n'a pas donné ( heureusement pour l’Italie et malheureusement pour l’Allemagne) de pénalty aux allemands " pour moi c'est vrai que la squadra a fait un grand match .
coté italien a part "quand pirlo a dégagé la balle avec la main et que ça n'a pas donné ( heureusement pour l’Italie et malheureusement pour l’Allemagne) de pénalty aux allemands " pour moi c'est vrai que la squadra a fait un grand match .
lily-jsk- Veteran
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Re: EURO 2012
azul fellawen heureux de revenire sur ce chère forume....
pour moi le meilleur joueur de ce tournoi est pirlo
ahh que j'aime ce joueur et la grinta mad in italia
maintenent a matichjsk , pour ce qui est de ballon d'or pour pirlo , la questione qui ce pose est: est ce que faire un bon euro suffit a remporter le ballon d'or??! ??!!!!! moi personnellemnt je pense pas il n'a mème pas participer a la champion's league .................. pour la final je vois bien l'italie remporter ce tournoi , mais attention a cette equipe d'espagn qui reste redoutable
pour moi le meilleur joueur de ce tournoi est pirlo
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maintenent a matichjsk , pour ce qui est de ballon d'or pour pirlo , la questione qui ce pose est: est ce que faire un bon euro suffit a remporter le ballon d'or??! ??!!!!! moi personnellemnt je pense pas il n'a mème pas participer a la champion's league .................. pour la final je vois bien l'italie remporter ce tournoi , mais attention a cette equipe d'espagn qui reste redoutable
kaci- Junior
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Re: EURO 2012
azul fellawen heureux de revenire sur ce chère forume....
pour moi le meilleur joueur de ce tournoi est pirlo
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kaci- Junior
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Re: EURO 2012
Personne n'attendait l'Italie en finale. C'est LA surprise du tournoi, j'espère qu'ils vont gagner la finale. Le collectif espagnol n'est pas aussi bon qu'en 2008, ils dominent toujours en possession mais ils ont une moyenen d'un but par match... d'ailleurs ça m'a fait plaisir de les voir sifflés trop de passes inutiles j'avais l'impression de voir le barça encore et toujours
JSK4ever01- International
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Re: EURO 2012
azul @ Kaci Ighav lathrikh agma ,j espere que tu vas bien
Pour Pirlo ,certe il n'a pas jouer la ligue des chompions mais il a gagné le scuditto et finaliste de coupe d'italie plus le titre de chompions d europe en cas de sacre. donc il le mérite vraiment
Pour Pirlo ,certe il n'a pas jouer la ligue des chompions mais il a gagné le scuditto et finaliste de coupe d'italie plus le titre de chompions d europe en cas de sacre. donc il le mérite vraiment
matichjsk- Administrateur
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Re: EURO 2012
Le dénouement tant attendu approche, et avec lui son lot de satisfactions. Cet Euro 2012 fut un bon cru, tant sur le plan du jeu que de la tactique, malheureusement occulté par la capacité de nos commentateurs à se focaliser sur les affres françaises. L'Espagne et l'Italie se retrouveront donc dimanche pour une finale 100 % latine, et 50 % attendue. Si les deux formations faisaient évidemment partie des favoris d'avant-tournoi (dans une moindre mesure pour l'Italie), cet apex dominical vient aussi et surtout récompenser les deux équipes tactiquement les plus innovantes de la compétition.
Jeu sans attaquant côté espagnol, défense à trois côté italien : leur première rencontre, en poules, avait d'ailleurs donné lieu à l'un des plus beaux matches de la compétition (aux côtés d'Italie-Croatie, Angleterre-Italie ou encore l'Allemagne-Italie d'hier soir, comme c'est étrange !). La donne sera certainement différente ce dimanche, et dépendra des possibles lapins que sortiront les entraîneurs de leurs chapeaux. Plus que jamais, la victoire reposera sur la capacité des équipes à répondre aux tactiques déployées par l'adversaire, de la composition d'avant-match aux remplacements effectués par les entraîneurs en cours de partie. En schématisant, tout dépendra plus précisément de trois facteurs majeurs :
comment bloquer l'attaque espagnole ?
qui pour occuper cette attaque espagnole ?
comment gêner les "créateurs" ?
Si les deux premiers points ont déjà été traités dans les précédentes chroniques, et ne seront donc ici que partiellement balayés, le troisième a démontré toute son importance lors de ces demi-finales, et sera certainement décisif dans cet épilogue.
LÉGENDAIRE DÉFENSE ITALIENNE
Il est triste que l'Italie, seule équipe majeure à jouer avec deux véritables attaquants et qui pousse même lorsqu'elle mène 2-0 contre l'Allemagne, en soit encore réduite à ses clichés cadenassés. Cela ne signifie pas, pour autant, que la solidité italienne soit une légende usurpée. Au contraire, la défense italienne a largement su prouver ses qualités tout au long du tournoi, le plus impressionnant restant peut-être cette adaptabilité qui la rend d'autant plus difficile à contrer.
Exemple hier soir, avec le repositionnement de la révélation Balzaretti sur le côté droit. S'il s'était montré particulièrement bon dans son couloir gauche, notamment en phase offensive (par exemple contre l'Angleterre), le match d'hier aura davantage souligné ses qualités défensives, bloquant efficacement la dangereuse alliance Lahm-Podolski.
La donne sera bien différente contre l'Espagne, qui débutera certainement sans véritables ailiers – sauf surprise et titularisation d'un Pedro, par exemple. Si Abate est rétabli pour la finale, Prandelli disposera de cinq défenseurs de talent et pourrait, pourquoi pas, les aligner ensemble sur le pré. Les latéraux occuperaient ainsi toute la verticalité des couloirs, maillon faible des Espagnols qui rechignent à s'y plonger (du moins jusqu'aux entrées de Navas ou Pedro).
Mais quel que soit le dispositif, De Rossi y sera comme un élément-clé, en libéro "parachutable" pour couvrir les montées des latéraux, soutenir ses partenaires acculés et leur offrir des solutions de relance dans l'axe. Par corollaire, peser sur De Rossi revient indirectement à peser sur sa base arrière. Pour gêner l'Italie, l'Espagne devra donc gêner au maximum le Romain dans ses tâches défensives ; c'est ici qu'un "faux numéro 9" tel que Fabregas peut être utile, l'obligeant à rester éloigné de ses défenseurs.
UNE NOUVELLE SURPRISE ESPAGNOLE ?
Qui occupera le front de l'Espagne ? C'est évidemment une inconnue majeure de l'équation, du moins la plus propice aux débats enflammés. On l'a vu tout au long du tournoi : l'Espagne a su jouer avec ses compositions pour ainsi faire déjouer les défenses adverses. Lors de son premier match, justement contre l'Italie, Del Bosque avait créé la sensation en titularisant Fabregas en faux numéro 9 ; une vraie-fausse surprise – et une vraie-fausse réussite –, que l'entraîneur avait légitimée en réponse à la composition à trois défenseurs annoncée par l'Italie avant le match.
Pour autant, difficile de savoir s'il réitérera dimanche. Il est même plus probable qu'il prenne une nouvelle fois le contre-pied des expectatives, comme il l'avait fait contre le Portugal en titularisant Negredo, qui n'avait pourtant presque pas joué du tournoi. Ce fut un échec, la faute à des créateurs bien gênés par les milieux lusitaniens, mais Del Bosque a plus d'un tour dans sa moustache, et dispose d'une impressionnante palette offensive pour composer son équipe :
Fabregas, qui pourrait être utile contre trois défenseurs axiaux en gênant De Rossi, voire Pirlo si ses partenaires suivent bien ses mouvements ;
Torres, qui avait considérablement perturbé la défense italienne lors de sa rentrée en joker de luxe, et qui pourrait aider à contenir assez bas leur ligne défensive pour étirer le bloc-équipe ;
Negredo, dont la complétude pourrait permettre de combiner ces deux rôles ;
ou surtout le désirable Llorente, qui n'a toujours pas joué du tournoi, mais dont les qualités dos au but seraient parfaites pour le jeu espagnol. A Bilbao, son corps est ainsi mis à profit pour immobiliser un voire deux défenseurs, et ainsi permettre à ses partenaires de s'engouffrer vers le but. Iniesta, Fabregas voire Xavi pourraient y trouver des brèches de qualité, alimentées par les talents de passe dont dispose le reste de l'équipe.
LES CRÉATEURS PRIS POUR CIBLE
Ces milieux seront au cœur du match, et cela vaut évidemment pour l'Italie. Pirlo contre Iniesta. Iniesta contre Pirlo. Dans ce match qui décidera, peut-être, du prochain Ballon d'or, s'opposeront donc les plus grands architectes-urbanistes de notre temps. Ces deux-là ont une capacité à organiser l'espace mieux que n'importe qui. Pour autant, est-il nécessaire de mettre toutes ses forces dans un pressing "exclusif" sur ces deux joueurs ? Rien n'est moins sûr. Si cette stratégie a été adoptée par nombre d'équipes lors des précédents matches, en particulier contre Iniesta, son efficacité est loin d'être démontrée.
Dans un cas comme dans l'autre, utiliser trop de ressources humaines pour gêner le créateur principal revient à laisser de l'espace à ses partenaires, qui peuvent alors se déployer vers l'avant : en Italie, De Rossi et surtout Montolivo, auteur hier soir d'une superbe passe décisive sur le second but de Balotelli ; en Espagne, Xavi et Xabi Alonso, voire même Busquets s'il se décidait enfin à révéler son plein talent offensif. Une solution a peut-être été montrée par le Portugal, qui avait choisi mercredi soir de marquer individuellement les trois milieux espagnols. Une stratégie à double-tranchant, qui aura considérablement contenu leur apport offensif, mais aura dans le même temps limité celui des Portugais eux-mêmes.
On préférera donc un marquage moins ciblé, en pesant davantage sur les créateurs reculés (Busquets, Xabi Alonso – De Rossi) afin de gêner leurs relances et ainsi fermer le robinet dès l'amont. Dans cette perspective, l'Espagne part avec une longueur d'avance de par sa palette offensive ; inversement, l'Italie pourrait peut-être reculer Balotelli d'un cran, en laissant Cassano en pointe, afin d'équilibrer les débats physiques avec le grand échalas Busquets. Ce serait un pari osé, compte tenu de son match d'hier, mais Prandelli n'en est pas à son premier coup d'audace. D'autant que dans ce match, plus que dans tout autre : tout se jouera au bluff.
le monde
Jeu sans attaquant côté espagnol, défense à trois côté italien : leur première rencontre, en poules, avait d'ailleurs donné lieu à l'un des plus beaux matches de la compétition (aux côtés d'Italie-Croatie, Angleterre-Italie ou encore l'Allemagne-Italie d'hier soir, comme c'est étrange !). La donne sera certainement différente ce dimanche, et dépendra des possibles lapins que sortiront les entraîneurs de leurs chapeaux. Plus que jamais, la victoire reposera sur la capacité des équipes à répondre aux tactiques déployées par l'adversaire, de la composition d'avant-match aux remplacements effectués par les entraîneurs en cours de partie. En schématisant, tout dépendra plus précisément de trois facteurs majeurs :
comment bloquer l'attaque espagnole ?
qui pour occuper cette attaque espagnole ?
comment gêner les "créateurs" ?
Si les deux premiers points ont déjà été traités dans les précédentes chroniques, et ne seront donc ici que partiellement balayés, le troisième a démontré toute son importance lors de ces demi-finales, et sera certainement décisif dans cet épilogue.
LÉGENDAIRE DÉFENSE ITALIENNE
Il est triste que l'Italie, seule équipe majeure à jouer avec deux véritables attaquants et qui pousse même lorsqu'elle mène 2-0 contre l'Allemagne, en soit encore réduite à ses clichés cadenassés. Cela ne signifie pas, pour autant, que la solidité italienne soit une légende usurpée. Au contraire, la défense italienne a largement su prouver ses qualités tout au long du tournoi, le plus impressionnant restant peut-être cette adaptabilité qui la rend d'autant plus difficile à contrer.
Exemple hier soir, avec le repositionnement de la révélation Balzaretti sur le côté droit. S'il s'était montré particulièrement bon dans son couloir gauche, notamment en phase offensive (par exemple contre l'Angleterre), le match d'hier aura davantage souligné ses qualités défensives, bloquant efficacement la dangereuse alliance Lahm-Podolski.
La donne sera bien différente contre l'Espagne, qui débutera certainement sans véritables ailiers – sauf surprise et titularisation d'un Pedro, par exemple. Si Abate est rétabli pour la finale, Prandelli disposera de cinq défenseurs de talent et pourrait, pourquoi pas, les aligner ensemble sur le pré. Les latéraux occuperaient ainsi toute la verticalité des couloirs, maillon faible des Espagnols qui rechignent à s'y plonger (du moins jusqu'aux entrées de Navas ou Pedro).
Mais quel que soit le dispositif, De Rossi y sera comme un élément-clé, en libéro "parachutable" pour couvrir les montées des latéraux, soutenir ses partenaires acculés et leur offrir des solutions de relance dans l'axe. Par corollaire, peser sur De Rossi revient indirectement à peser sur sa base arrière. Pour gêner l'Italie, l'Espagne devra donc gêner au maximum le Romain dans ses tâches défensives ; c'est ici qu'un "faux numéro 9" tel que Fabregas peut être utile, l'obligeant à rester éloigné de ses défenseurs.
UNE NOUVELLE SURPRISE ESPAGNOLE ?
Qui occupera le front de l'Espagne ? C'est évidemment une inconnue majeure de l'équation, du moins la plus propice aux débats enflammés. On l'a vu tout au long du tournoi : l'Espagne a su jouer avec ses compositions pour ainsi faire déjouer les défenses adverses. Lors de son premier match, justement contre l'Italie, Del Bosque avait créé la sensation en titularisant Fabregas en faux numéro 9 ; une vraie-fausse surprise – et une vraie-fausse réussite –, que l'entraîneur avait légitimée en réponse à la composition à trois défenseurs annoncée par l'Italie avant le match.
Pour autant, difficile de savoir s'il réitérera dimanche. Il est même plus probable qu'il prenne une nouvelle fois le contre-pied des expectatives, comme il l'avait fait contre le Portugal en titularisant Negredo, qui n'avait pourtant presque pas joué du tournoi. Ce fut un échec, la faute à des créateurs bien gênés par les milieux lusitaniens, mais Del Bosque a plus d'un tour dans sa moustache, et dispose d'une impressionnante palette offensive pour composer son équipe :
Fabregas, qui pourrait être utile contre trois défenseurs axiaux en gênant De Rossi, voire Pirlo si ses partenaires suivent bien ses mouvements ;
Torres, qui avait considérablement perturbé la défense italienne lors de sa rentrée en joker de luxe, et qui pourrait aider à contenir assez bas leur ligne défensive pour étirer le bloc-équipe ;
Negredo, dont la complétude pourrait permettre de combiner ces deux rôles ;
ou surtout le désirable Llorente, qui n'a toujours pas joué du tournoi, mais dont les qualités dos au but seraient parfaites pour le jeu espagnol. A Bilbao, son corps est ainsi mis à profit pour immobiliser un voire deux défenseurs, et ainsi permettre à ses partenaires de s'engouffrer vers le but. Iniesta, Fabregas voire Xavi pourraient y trouver des brèches de qualité, alimentées par les talents de passe dont dispose le reste de l'équipe.
LES CRÉATEURS PRIS POUR CIBLE
Ces milieux seront au cœur du match, et cela vaut évidemment pour l'Italie. Pirlo contre Iniesta. Iniesta contre Pirlo. Dans ce match qui décidera, peut-être, du prochain Ballon d'or, s'opposeront donc les plus grands architectes-urbanistes de notre temps. Ces deux-là ont une capacité à organiser l'espace mieux que n'importe qui. Pour autant, est-il nécessaire de mettre toutes ses forces dans un pressing "exclusif" sur ces deux joueurs ? Rien n'est moins sûr. Si cette stratégie a été adoptée par nombre d'équipes lors des précédents matches, en particulier contre Iniesta, son efficacité est loin d'être démontrée.
Dans un cas comme dans l'autre, utiliser trop de ressources humaines pour gêner le créateur principal revient à laisser de l'espace à ses partenaires, qui peuvent alors se déployer vers l'avant : en Italie, De Rossi et surtout Montolivo, auteur hier soir d'une superbe passe décisive sur le second but de Balotelli ; en Espagne, Xavi et Xabi Alonso, voire même Busquets s'il se décidait enfin à révéler son plein talent offensif. Une solution a peut-être été montrée par le Portugal, qui avait choisi mercredi soir de marquer individuellement les trois milieux espagnols. Une stratégie à double-tranchant, qui aura considérablement contenu leur apport offensif, mais aura dans le même temps limité celui des Portugais eux-mêmes.
On préférera donc un marquage moins ciblé, en pesant davantage sur les créateurs reculés (Busquets, Xabi Alonso – De Rossi) afin de gêner leurs relances et ainsi fermer le robinet dès l'amont. Dans cette perspective, l'Espagne part avec une longueur d'avance de par sa palette offensive ; inversement, l'Italie pourrait peut-être reculer Balotelli d'un cran, en laissant Cassano en pointe, afin d'équilibrer les débats physiques avec le grand échalas Busquets. Ce serait un pari osé, compte tenu de son match d'hier, mais Prandelli n'en est pas à son premier coup d'audace. D'autant que dans ce match, plus que dans tout autre : tout se jouera au bluff.
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Re: EURO 2012
merci Lily pour le partage, stp donne nous le lien de l'article...
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Re: EURO 2012
atlante a écrit:merci Lily pour le partage, stp donne nous le lien de l'article...
http://www.lemonde.fr/euro2012/article/2012/06/29/chronique-tactique-le-grand-bluff_1727075_1616919.html
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Re: EURO 2012
ce soir la final
Espagne vs Italie
Espagne vs Italie
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Re: EURO 2012
l'espagne part favorite même si elle n'a pas montrer grand chose lrs dece tournoi sutout offensivement mais l' Italie avec une nouvelle façon de jouer peut gagner contre n'importe quelle equipes
J' espere une victoire italienne et pourquoi pas un but de Pirlo pour coroner son excellent euro et pourquoi pas avoir le ballon d'or
J' espere une victoire italienne et pourquoi pas un but de Pirlo pour coroner son excellent euro et pourquoi pas avoir le ballon d'or
matichjsk- Administrateur
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Re: EURO 2012
Xavi est le symbole de tout ça. Il fait un Euro sans forcer, mais le jour de la finale il met à l'amende Pirlo, et de belle manière !
Quel match de la Roja, qui n'a rien laissé passée, qui a dominé de fond en comble. Sont programmés pour ces matchs là, sauf qu'ici ils ont tout de suite mis la seconde et jouer le match à fond. Pirlo n'a pas existé, Balotelli a été réduit à néant dès le premier quart d'heure.
Alors cette fois faudra trouver autre chose parce que le système sans neuf a fonctionné, Busquets et Xabi aussi. Del Bosque est-il encore un débile surcoté ? Il devient le premier entraineur à faire le triplé Champion's League / Euro / Coupe du monde. Pas mal pour un mec surcoté.
Le match s'arrête lorsque Thiago Motta sort sur blessure, là c'était foutu.
Bref, elle est dans l'histoire, au dessus de tout. La meilleure sélection de l'Histoire c'est la Roja.
Quel match de la Roja, qui n'a rien laissé passée, qui a dominé de fond en comble. Sont programmés pour ces matchs là, sauf qu'ici ils ont tout de suite mis la seconde et jouer le match à fond. Pirlo n'a pas existé, Balotelli a été réduit à néant dès le premier quart d'heure.
Alors cette fois faudra trouver autre chose parce que le système sans neuf a fonctionné, Busquets et Xabi aussi. Del Bosque est-il encore un débile surcoté ? Il devient le premier entraineur à faire le triplé Champion's League / Euro / Coupe du monde. Pas mal pour un mec surcoté.
Le match s'arrête lorsque Thiago Motta sort sur blessure, là c'était foutu.
Bref, elle est dans l'histoire, au dessus de tout. La meilleure sélection de l'Histoire c'est la Roja.
kaci- Junior
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Re: EURO 2012
matichjsk a écrit:l'espagne part favorite même si elle n'a pas montrer grand chose lrs dece tournoi sutout offensivement mais l' Italie avec une nouvelle façon de jouer peut gagner contre n'importe quelle equipes
J' espere une victoire italienne et pourquoi pas un but de Pirlo pour coroner son excellent euro et pourquoi pas avoir le ballon d'or
ih .. et pourquoi pas???? ................................parce que le barca euhhhh l'espagne est plus forte !!!! :real:
atlante- Administrateur
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Re: EURO 2012
l’Espagne mérite largement sa victoire hier
havi a écrasé tous le monde au milieu
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Re: EURO 2012
http://www.lemonde.fr/euro2012/article/2012/07/01/euro-2012-l-espagne-remporte-l-euro-et-entre-dans-l-histoire_1727600_1616919.html
http://www.lemonde.fr/euro2012/article/2012/07/02/chronique-tactique-l-espagne-miroir-du-football-de-demain_1727698_1616919.html
http://www.lemonde.fr/euro2012/portfolio/2012/07/01/euro-2012-les-moments-decisifs-du-match-espagne-italie_1727624_1616919.html
http://www.lemonde.fr/euro2012/article/2012/07/02/chronique-tactique-l-espagne-miroir-du-football-de-demain_1727698_1616919.html
http://www.lemonde.fr/euro2012/portfolio/2012/07/01/euro-2012-les-moments-decisifs-du-match-espagne-italie_1727624_1616919.html
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Re: EURO 2012
Euro 2012. Espagne championne d’Europe, Iniesta meilleur joueur, Fernando Torres Soulier d’or
l’Espagne qui écrase tout
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abb- Veteran
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Re: EURO 2012
casillas meilleur gardien de cet euro , pour moi !
lily-jsk- Veteran
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