Re: [30] Mohamed Rabie Meftah

par manujuve 14/1/2008, 19:09

magnifique yaatih essah ondirait pas kil était blesser avant ce match mille merci

par momoh83 14/1/2008, 19:11

Rien à dire extra!!!

par azulman93 15/1/2008, 08:00

et dire qu'on a failli se passer de lui sur ce match

par kabyle-alger 15/1/2008, 11:44

il y'a que lui sur le terrain, hier

par azulman93 16/1/2008, 04:47

kabyle-alger a écrit:il y'a que lui sur le terrain, hier

un peu éxagéré tout de meme mais on peut le dire pour le coté droit de la JSK, un veritable battant qui ne s'essoufle pas malgré qu'il avait un souci aux adducteurs, on en a rien vu contre l'USMA !

par manujuve 24/1/2008, 21:00

la défense aujrs uen vrai passoire mm si il à mieux jouer ke les 2 autres

par kabyle-alger 28/1/2008, 15:37

Meftah
«On l’aura le titre , n’en déplaise à nos détracteurs»

Cela vous a fait quoi d’encaisser un but à deux minutes de la fin du match à Saïda ?
C’était très dur à digérer. Ce but était survenu contre le cours du jeu. On a contrôlé le match comme il se devait et puis vint ce but qui a tout remis en cause. On pouvait revenir avec au moins un point qu’on méritait amplement. Malheureusement, ce but a tout chamboulé. A partir de là, on ne peut être que frustrés et déçus. Un nul aurait été plus équitable.
Comment expliquez-vous votre mauvais début de match, ayant pris deux buts en un quart d’heure ; ce qui est inhabituel chez vous ?
On avait mal débuté le match, en effet. Il y a eu comme un moment d’affolement. L’adversaire nous a cueillis à froid, avec ce premier but survenu sur corner. Je ne dirai pas qu’on a commis une erreur sur le coup. Mais une chose est sûre, ça les a beaucoup motivés. La preuve, ils se sont rués en nombre en attaque. Cela dit, on a pu se ressaisir juste après.
A la mi-temps, que vous a dit Saïb ?
Cela pourrait vous paraître insensé, mais nous sommes restés sereins. On avait confiance en nous. Honnêtement, le coach nous a tenu un discours motivant. En gros, il nous a rappelé qu’un match, ça se joue sur 90’, même au-delà, et qu’il attendait de nous une meilleure réaction en seconde période. C’est ce que nous avons fait. On a repris les choses en main. On a remonté deux buts. Malheureusement, on s’est fait avoir en fin de match.
Ne pensez-vous pas que la défense a été défaillante lors de ce match ?
Je reconnais que nous n’avons pas été très rassurants derrière, mais il ne faut pas pour autant tout remettre sur le dos des défenseurs. La défaite, nous l’assumons tous. Et franchement, il faudrait plutôt en vouloir à l’arbitre qui nous a privés d’un but valable. Tout le monde aura vu que Douicher n’était pas en position de hors-jeu. Je ne sais pas comment il a vu ce hors-jeu, mais franchement, cela n’arrange en rien son image de marque.
On a vu une équipe portée vers l’offensive en toute fin de match ; pourquoi ne pas avoir géré le nul ?
Après un match, il y a toujours des critiques. J’ai déjà entendu ce genre de réflexions. Je pense que si nous étions restés derrière et pris un but, on nous aurait reproché d’être trop prudents. Dans le football, ça va très vite. L’attaquant de Saïda était bien placé, il a tenté sa chance et il a réussi. Tant pis pour nous. Un match, on ne le refait pas. A présent, il faudra vite se projeter vers l’avenir.
Personnellement, comment réagissez-vous à toute cette polémique autour de l’arbitrage ?
Pour tout vous dire, je n’y prête aucune attention. C’est vrai que certaines décisions peuvent influencer les résultats des matches. On a vu ce qui s’est passé à Saïda puis au 5-Juillet entre le Mouloudia et Sétif. C’en est vraiment trop. J’ai souvent entendu dire que l’arbitrage nous privilégiait, mais ce qui s’est passé jeudi dernier à tout mis à nu. Vraiment, il faut que ça cesse.
Ne pensez-vous pas que cela enlève au championnat de son charme et de l’enthousiasme qu’il peut susciter ?
Si ça continue, oui ! Il faut vraiment que ça cesse. En tout cas en ce qui nous concerne, nous nous contentons de faire notre travail. Le titre de champion, on y croit fermement. On l’aura, n’en déplaise à nos détracteurs.
Propos recueillis par
Achour Aït Ali
http://www.lebuteur.com/

par kabyle-alger 31/1/2008, 18:34

dar hala hala

par Nounou 31/1/2008, 20:56

C'est un grand joueur sur le plan défensif et offensif.

par milla girl 1/2/2008, 00:03

vraiment il fait tout un grand bravo meftah

par manujuve 15/2/2008, 00:46

tjrs égal à lui mm , il est sur tout les fronts

par latino1990 15/2/2008, 16:25

pffffffff ce joueur est vraiment un robot il est partout franchement on a de la chance de l'avoir et je suis d'autant plus fiere kil soit un pur produit de la jsk

par Polaris 19/2/2008, 12:24

Le Buteur : Mardi 19 février 2008

JSK - Rabie Meftah en pèlerinage chez Matoub Lounès
[30] Mohamed Rabie Meftah - Page 8 Meftah-19022008

«Pour moi, la Kabylie, c’est Matoub»
A l’issue de la dernière victoire face au MCO, Saïb a accordé à ses joueurs deux jours de repos. Une belle aubaine de rencontrer Meftah. Rendez-vous a donc été pris samedi matin à 9h 30 au quartier Mondial en plein centre ville de Tizi Ouzou. L’heure H, point de Meftah au lieu convenu. 10’ plus tard, notre portable sonne et affiche le numéro du joueur kabyle qui s’est fendu en excuses : " Mille excuses, je suis un peu en retard, je serai à vous dans quelques minutes. " Après les salutations d’usage, le premier geste de Meftah a été de faire un tour au kiosque du coin pour feuilleter Le Buteur dont la Une revenait sur le match du week end face au Mouloudia d’Oran. Premier constat : dans le quartier qui l’a vu grandir, Meftah est très apprécié puisque pendant les quelques minutes que nous avons passées sur place, il a été sollicité une dizaine fois pour des photos. Parmi ses fans, il y avait même une jeune demoiselle. Dès que nous avons pris place à l’intérieur de l’Audi A3 du joueur, ce dernier nous a proposé : "ça ne vous dérange pas trop si on fait une virée à Béni Douala ? Hier j’ai vu un long film sur Matoub et j’ai eu envie de faire un tour dans son patelin." Nous n’avons naturellement pas trouvé d’inconvénient d’aller faire ce petit pèlerinage au village du chantre de la musique kabyle. Quelques minutes avant d’arriver à Béni Douala, Meftah appelle son coéquipier Berrefane qui habite la région pour nous servir de guide le guide. On a trouvé le gardien de but kabyle à l’entrée du village à bord de sa Bora. Durant tout le chemin, on a été bercés par la voix de Matoub Lounès, véritable idole de Rabie. Même la sonnerie de son portable est une chanson. Pourtant et à la mort de Matoub, Meftah n’avait que 13 ans : "Cela ne m’a pas empêché de participer aux émeutes car j’ai grandi avec Matoub qui est plus qu’une idole pour moi à tel point que je ne peux pas écouter autre chose que Matoub, c’est lui la Kabylie." La discussion tournait presque exclusivement autour du Rebelle entrecoupée par quelques analyses de la rencontre du jeudi précédent. " On savait dès le départ que le match allait être difficile, en tant que leader nous sommes devenus l’équipe à battre, le MCO qui joue le maintien voulait coûte que coûte prendre un point. Heureusement que nous avons débloqué la situation en deuxième mi-temps, vous savez dans ce genre de matchs, le plus important ce sont les trois points."

«Nous sommes chez Matoub Lounès»
A mesure que nous nous approchions de Taourirt Moussa, la discussion sur Matoub reprenait petit à petit. Meftah s’est même surpris à nous raconter en détails le film qu’il avait vu la veille. Il était 11h 30 lorsque nous sommes arrivés chez Matoub. Dans le garage, la Mercedes que le défunt conduisait au moment de son assassinat. Des photos, des coupures de journaux étaient collés aux murs dont une Une du Buteur : "Gagnez pour Matoub !" lisait-on sur Le Buteur la veille d’une finale de Coupe de la CAF. Meftah qui était plongé dans ses pensées a lâché avec tristesse : "78 balles, vous vous imaginez ?" en faisant allusion au nombre de balles qui ont transpercé le corps du symbole de la Kabylie rebelle. Il s’approche ensuite d’un tableau de Matoub pour y poser à côté. Recueillement devant la tombe du défunt et visite guidée de la fondation Matoub Lounès grâce à deux jeunes filles rencontrées sur place. C’est à ce moment-là que la cloche de l’école primaire mitoyenne a sonné pour libérer les chérubins qui ont vite reconnus leurs trois idoles. Petit match improvisé au cours duquel Douicher s’en donne à cœur joie. Retour à la fondation où Meftah admirait religieusement les cadres de son idole avant de demander à Lamara : "On n’a rien raté ?" "Normalement, non", répondit Lamara. Dans le bureau de la fondation, les joueurs posent avec un trophée, un fanion de la JSK et un autre de l’Algérie. Cela a donné des idées à Berrefane qui a glissé : "C’est le 14e titre." Ainsi soit-il Mourad. Fin de la visite et passage au registre des condoléances. A leur sortie de la fondation, les trois joueurs seront littéralement assaillis par les écoliers qui leur réclamaient des autographes. Apparemment, l’information de la présence de Meftah, Douicher et Berrefane a circulé comme une traînée de poudre. Il était 13h lorsqu’on a quitté les lieux. Douicher et Berrefane prennent congés pour rentrer chez eux alors que nous avons pris le chemin de Tizi Ouzou.

par fanoudelajsk 19/2/2008, 12:29

Lui c'est un vrai Kabyle ,

,
ça fait plaisir , ça remonte le moral de voir des joueurs qui aiment Lounes .
Merci Polaris , thanmirth atas atas

Polaris a écrit:
Le Buteur : Mardi 19 février 2008

JSK - Rabie Meftah en pèlerinage chez Matoub Lounès

«Pour moi, la Kabylie, c’est Matoub»
A l’issue de la dernière victoire face au MCO, Saïb a accordé à ses joueurs deux jours de repos. Une belle aubaine de rencontrer Meftah. Rendez-vous a donc été pris samedi matin à 9h 30 au quartier Mondial en plein centre ville de Tizi Ouzou. L’heure H, point de Meftah au lieu convenu. 10’ plus tard, notre portable sonne et affiche le numéro du joueur kabyle qui s’est fendu en excuses : " Mille excuses, je suis un peu en retard, je serai à vous dans quelques minutes. " Après les salutations d’usage, le premier geste de Meftah a été de faire un tour au kiosque du coin pour feuilleter Le Buteur dont la Une revenait sur le match du week end face au Mouloudia d’Oran. Premier constat : dans le quartier qui l’a vu grandir, Meftah est très apprécié puisque pendant les quelques minutes que nous avons passées sur place, il a été sollicité une dizaine fois pour des photos. Parmi ses fans, il y avait même une jeune demoiselle. Dès que nous avons pris place à l’intérieur de l’Audi A3 du joueur, ce dernier nous a proposé : "ça ne vous dérange pas trop si on fait une virée à Béni Douala ? Hier j’ai vu un long film sur Matoub et j’ai eu envie de faire un tour dans son patelin." Nous n’avons naturellement pas trouvé d’inconvénient d’aller faire ce petit pèlerinage au village du chantre de la musique kabyle. Quelques minutes avant d’arriver à Béni Douala, Meftah appelle son coéquipier Berrefane qui habite la région pour nous servir de guide le guide. On a trouvé le gardien de but kabyle à l’entrée du village à bord de sa Bora. Durant tout le chemin, on a été bercés par la voix de Matoub Lounès, véritable idole de Rabie. Même la sonnerie de son portable est une chanson. Pourtant et à la mort de Matoub, Meftah n’avait que 13 ans : "Cela ne m’a pas empêché de participer aux émeutes car j’ai grandi avec Matoub qui est plus qu’une idole pour moi à tel point que je ne peux pas écouter autre chose que Matoub, c’est lui la Kabylie." La discussion tournait presque exclusivement autour du Rebelle entrecoupée par quelques analyses de la rencontre du jeudi précédent. " On savait dès le départ que le match allait être difficile, en tant que leader nous sommes devenus l’équipe à battre, le MCO qui joue le maintien voulait coûte que coûte prendre un point. Heureusement que nous avons débloqué la situation en deuxième mi-temps, vous savez dans ce genre de matchs, le plus important ce sont les trois points."

«Nous sommes chez Matoub Lounès»
A mesure que nous nous approchions de Taourirt Moussa, la discussion sur Matoub reprenait petit à petit. Meftah s’est même surpris à nous raconter en détails le film qu’il avait vu la veille. Il était 11h 30 lorsque nous sommes arrivés chez Matoub. Dans le garage, la Mercedes que le défunt conduisait au moment de son assassinat. Des photos, des coupures de journaux étaient collés aux murs dont une Une du Buteur : "Gagnez pour Matoub !" lisait-on sur Le Buteur la veille d’une finale de Coupe de la CAF. Meftah qui était plongé dans ses pensées a lâché avec tristesse : "78 balles, vous vous imaginez ?" en faisant allusion au nombre de balles qui ont transpercé le corps du symbole de la Kabylie rebelle. Il s’approche ensuite d’un tableau de Matoub pour y poser à côté. Recueillement devant la tombe du défunt et visite guidée de la fondation Matoub Lounès grâce à deux jeunes filles rencontrées sur place. C’est à ce moment-là que la cloche de l’école primaire mitoyenne a sonné pour libérer les chérubins qui ont vite reconnus leurs trois idoles. Petit match improvisé au cours duquel Douicher s’en donne à cœur joie. Retour à la fondation où Meftah admirait religieusement les cadres de son idole avant de demander à Lamara : "On n’a rien raté ?" "Normalement, non", répondit Lamara. Dans le bureau de la fondation, les joueurs posent avec un trophée, un fanion de la JSK et un autre de l’Algérie. Cela a donné des idées à Berrefane qui a glissé : "C’est le 14e titre." Ainsi soit-il Mourad. Fin de la visite et passage au registre des condoléances. A leur sortie de la fondation, les trois joueurs seront littéralement assaillis par les écoliers qui leur réclamaient des autographes. Apparemment, l’information de la présence de Meftah, Douicher et Berrefane a circulé comme une traînée de poudre. Il était 13h lorsqu’on a quitté les lieux. Douicher et Berrefane prennent congés pour rentrer chez eux alors que nous avons pris le chemin de Tizi Ouzou.

par billel88 19/2/2008, 14:16

MEFTAH

un vrai homme.

par Polaris 19/2/2008, 14:35

fanoudelajsk a écrit:
Lui c'est un vrai Kabyle , ,
ça fait plaisir , ça remonte le moral de voir des joueurs qui aiment Lounes .
Merci Polaris , thanmirth atas atas

Effectivement ça fait plaisir de voie que l'âme kabyle n'est pas morte chez les joueurs de la JSK ... c'est bien que certains s'inspirent toujours de Matoub Lounes ... tout n'est peut être pas perdu . Amazigh

par fodil-bejaia 20/2/2008, 00:17

fanoudelajsk a écrit:
Lui c'est un vrai Kabyle , ,
ça fait plaisir , ça remonte le moral de voir des joueurs qui aiment Lounes .
Merci Polaris , thanmirth atas atas
Polaris a écrit:
Le Buteur : Mardi 19 février 2008

JSK - Rabie Meftah en pèlerinage chez Matoub Lounès

«Pour moi, la Kabylie, c’est Matoub»
A l’issue de la dernière victoire face au MCO, Saïb a accordé à ses joueurs deux jours de repos. Une belle aubaine de rencontrer Meftah. Rendez-vous a donc été pris samedi matin à 9h 30 au quartier Mondial en plein centre ville de Tizi Ouzou. L’heure H, point de Meftah au lieu convenu. 10’ plus tard, notre portable sonne et affiche le numéro du joueur kabyle qui s’est fendu en excuses : " Mille excuses, je suis un peu en retard, je serai à vous dans quelques minutes. " Après les salutations d’usage, le premier geste de Meftah a été de faire un tour au kiosque du coin pour feuilleter Le Buteur dont la Une revenait sur le match du week end face au Mouloudia d’Oran. Premier constat : dans le quartier qui l’a vu grandir, Meftah est très apprécié puisque pendant les quelques minutes que nous avons passées sur place, il a été sollicité une dizaine fois pour des photos. Parmi ses fans, il y avait même une jeune demoiselle. Dès que nous avons pris place à l’intérieur de l’Audi A3 du joueur, ce dernier nous a proposé : "ça ne vous dérange pas trop si on fait une virée à Béni Douala ? Hier j’ai vu un long film sur Matoub et j’ai eu envie de faire un tour dans son patelin." Nous n’avons naturellement pas trouvé d’inconvénient d’aller faire ce petit pèlerinage au village du chantre de la musique kabyle. Quelques minutes avant d’arriver à Béni Douala, Meftah appelle son coéquipier Berrefane qui habite la région pour nous servir de guide le guide. On a trouvé le gardien de but kabyle à l’entrée du village à bord de sa Bora. Durant tout le chemin, on a été bercés par la voix de Matoub Lounès, véritable idole de Rabie. Même la sonnerie de son portable est une chanson. Pourtant et à la mort de Matoub, Meftah n’avait que 13 ans : "Cela ne m’a pas empêché de participer aux émeutes car j’ai grandi avec Matoub qui est plus qu’une idole pour moi à tel point que je ne peux pas écouter autre chose que Matoub, c’est lui la Kabylie." La discussion tournait presque exclusivement autour du Rebelle entrecoupée par quelques analyses de la rencontre du jeudi précédent. " On savait dès le départ que le match allait être difficile, en tant que leader nous sommes devenus l’équipe à battre, le MCO qui joue le maintien voulait coûte que coûte prendre un point. Heureusement que nous avons débloqué la situation en deuxième mi-temps, vous savez dans ce genre de matchs, le plus important ce sont les trois points."

«Nous sommes chez Matoub Lounès»
A mesure que nous nous approchions de Taourirt Moussa, la discussion sur Matoub reprenait petit à petit. Meftah s’est même surpris à nous raconter en détails le film qu’il avait vu la veille. Il était 11h 30 lorsque nous sommes arrivés chez Matoub. Dans le garage, la Mercedes que le défunt conduisait au moment de son assassinat. Des photos, des coupures de journaux étaient collés aux murs dont une Une du Buteur : "Gagnez pour Matoub !" lisait-on sur Le Buteur la veille d’une finale de Coupe de la CAF. Meftah qui était plongé dans ses pensées a lâché avec tristesse : "78 balles, vous vous imaginez ?" en faisant allusion au nombre de balles qui ont transpercé le corps du symbole de la Kabylie rebelle. Il s’approche ensuite d’un tableau de Matoub pour y poser à côté. Recueillement devant la tombe du défunt et visite guidée de la fondation Matoub Lounès grâce à deux jeunes filles rencontrées sur place. C’est à ce moment-là que la cloche de l’école primaire mitoyenne a sonné pour libérer les chérubins qui ont vite reconnus leurs trois idoles. Petit match improvisé au cours duquel Douicher s’en donne à cœur joie. Retour à la fondation où Meftah admirait religieusement les cadres de son idole avant de demander à Lamara : "On n’a rien raté ?" "Normalement, non", répondit Lamara. Dans le bureau de la fondation, les joueurs posent avec un trophée, un fanion de la JSK et un autre de l’Algérie. Cela a donné des idées à Berrefane qui a glissé : "C’est le 14e titre." Ainsi soit-il Mourad. Fin de la visite et passage au registre des condoléances. A leur sortie de la fondation, les trois joueurs seront littéralement assaillis par les écoliers qui leur réclamaient des autographes. Apparemment, l’information de la présence de Meftah, Douicher et Berrefane a circulé comme une traînée de poudre. Il était 13h lorsqu’on a quitté les lieux. Douicher et Berrefane prennent congés pour rentrer chez eux alors que nous avons pris le chemin de Tizi Ouzou.

si seulement toute l equipe de la jsk en compagnie du staff et du president pouvais se rendre a la maison de matoub,ca aurait ete historique,ce beau geste de rabih meftah sera un autre exemple pour les autres joueurs

par kabyle-alger 26/2/2008, 15:30

Meftah

«On se prépare sans pression mais en toute motivation»

Comment est l’ambiance au sein du groupe ?
Plutôt bonne. Comme vous avez pu le constater, il y a une certaine sérénité dans le groupe. On est, c’est vrai, décontractés, tout en étant concentrés sur le match de ce week-end. Il faut qu’on soit d’attaque.
Comment préparez-vous justement cette rencontre
face à l’USMB ?
Le plus normalement du monde. C’est un match certes important, mais sans plus. Autrement dit, on ne veut pas se mettre la pression sur les épaules dès maintenant. Le groupe travaille assidûment et c’est la preuve que la motivation est là. A vrai dire, cette coupure nous a été bénéfique. Nous avons pu récupérer les joueurs blessés. C’était primordial d’avoir tout le monde pour ce match.
Avez-vous fait une préparation spécifique pour ce match de Blida ?
Absolument pas. Nous nous sommes entraînés le plus normalement du monde, c’est-à-dire une préparation qui touche tous les domaines. Nous avons aussi pensé à corriger certaines lacunes constatées lors des derniers matches.
Comment se présente pour vous ce rendez-vous ?
Assez difficile. Blida est une équipe imprévisible qui peut vous sortir le grand jeu là où l’on s’attend le moins. C’était d’ailleurs le cas lors du match aller chez nous à Tizi. C’est pourquoi la vigilance est de mise.
N’y a-t-il pas chez vous un sentiment de revanche, vu que l’USMB est la seule équipe qui vous a tenus en échec à domicile ?
Je ne sais pas si on devrait parler de revanche. C’est vrai que Blida nous a tenus en échec à Tizi, mais c’est du passé. On est très motivés à réaliser un bon résultat, vu que ce match peut s’avérer un virage décisif dans la course au titre, mais sans plus. En tout cas, la rencontre ne doit pas sortir de son cadre sportif.
Propos recueillis par
Abdallah Haddad

LE BUTEUR.

par manujuve 21/3/2008, 22:41

quel grand match de rabie

par kabyle-alger 23/3/2008, 19:54

pour moi c'est lui le capitain Lunettes

par JSK4ever01 23/3/2008, 20:44

kabyle-alger a écrit:pour moi c'est lui le capitain

Awah pas encore Chafik il est jeune il faut qu'il gagne en confiance, il est timide sur le terrain Wink

Un capitaine doit avoir le caractére de Chaouchi ou Abdeslam.

par manujuve 23/3/2008, 21:53

jsk4ever01 a écrit:
kabyle-alger a écrit:pour moi c'est lui le capitain

Awah pas encore Chafik il est jeune il faut qu'il gagne en confiance, il est timide sur le terrain
Un capitaine doit avoir le caractére de Chaouchi ou Abdeslam.

chouchi n'est pas du tout un exemplaire à suivre , surtout son comportement, lala normalement c beaucoup plus douicher c lui l'enfant du club est plus âgé ke meftah

par JSK4ever01 26/3/2008, 04:28

manujuve a écrit:
jsk4ever01 a écrit:
kabyle-alger a écrit:pour moi c'est lui le capitain

Awah pas encore Chafik il est jeune il faut qu'il gagne en confiance, il est timide sur le terrain
Un capitaine doit avoir le caractére de Chaouchi ou Abdeslam.

chouchi n'est pas du tout un exemplaire à suivre , surtout son comportement, lala normalement c beaucoup plus douicher c lui l'enfant du club est plus âgé ke meftah

Je parlais du caractére sur le terrain, un gars fonceur qui n'hesite pas a remettre en place ses coequipiers Wink

par latino1990 26/3/2008, 21:20

manujuve a écrit:
jsk4ever01 a écrit:
kabyle-alger a écrit:pour moi c'est lui le capitain

Awah pas encore Chafik il est jeune il faut qu'il gagne en confiance, il est timide sur le terrain
Un capitaine doit avoir le caractére de Chaouchi ou Abdeslam.

chouchi n'est pas du tout un exemplaire à suivre , surtout son comportement, lala normalement c beaucoup plus douicher c lui l'enfant du club est plus âgé ke meftah

il ne suffit pas d'etre un enfant du ckub douicher est trop timide il ne s'affirme pas donc il ne ferait pas un aussi bon capitaine que abdeslam

par kabyle-alger 30/3/2008, 21:46

«Meftah est venu prolonger, mais je lui ai dit d'attendre»
Interrogé sur les joueurs en fin de contrat, le président kabyle a révélé que l'arrière droit international Rabie Meftah s'est déplacé à la direction du club le week-end dernier afin de rempiler. «Il est venu me voir pour qu'il prolonge, mais je lui ai dit d'attendre. Je ne suis pas pressé pour négocier avec les fins de contrat, car je suis convaincu que mes joueurs resteront à la JSK s'ils ne partent pas à l'étranger. Il y a une confiance mutuelle entre moi et mes joueurs. Ils renouvelleront leur bail au moment opportun», soulignera Hannachi.

Compétiton

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