Championnat national de 1ère division

Chers forumistes
je vous propose ce topic pour suivre non seulement l'actualité des autres club (algérien ou autres) mais aussi pour analyser leur développements; leur professionnalisations....ceci afin de les comparer a ce qui ce fait a la JSK

ps: le topic ne concerne pas la compétition, cf topics appropriés

voici les projets de l'USMB afin de professionnaliser le club...

et voici le bilan de l'ESS, le plus intéressant ici c'est le fait que les joueurs en fin de contrat renouvellent facilement contrairement a chez nous...

Création de la ligue professionnelle : Réunion de la FAF le 13 juillet
El Watan | Posté le : Jeudi 25 juin


Jusqu’à présent, rien d’officiel n’a été arrêté. La division I à dix-huit clubs et la division II avec autant de clubs c’est acquis pour la future saison (2009-2010).

Le reste, la division II éclatée en trois groupes (régionaux) à 16 clubs pour la saison d’après (2010-2011) est à l’état de projet.

C’est ce que nous a révélé une source proche du bureau fédéral qui indique : « Nous avons initié un certain nombre de décisions que nous officialiserons lors du prochain bureau fédéral. Je peux d’ores et déjà annoncer que 3 clubs de la nationale I descendront en division II au terme de la prochaine saison (2009-2010). Un club de la division II accédera en division I dans la même saison. La suite, c’est-à-dire ce qui sera fait à partir de la saison 2010-2011, dépend exclusivement de la création ou pas de la ligue professionnelle et par ricochet du passage de quelques clubs au statut professionnel. Dans le premier cas de figure, des clubs obtiennent le statut professionnel. La ligue professionnelle sera mise sur pied, elle regroupera, selon nos estimations, entre 8 à 12 clubs. Le nombre de clubs qui restera sera complété par d’autres mieux classés de la division II pour constituer le noyau de 16 clubs qui animera la division I ».

Cette option sera avantageuse pour les clubs du second pallier dans la mesure où un bon paquet « accédera » à ce qui sera le second niveau de la pyramide de l’élite. Le projet d’une deuxième division à caractère régional (16 clubs) sera concrétisé.

A présent, voyons ce qu’adviendra du système, si la ligue professionnelle et des clubs pros ne voient pas le jour avant le début de la saison 2010-2011.

Dans ce cas de figure, au terme du prochain exercice (2009-2010), trois clubs de la division I seront relégués en ce qui sera (2010-2011) la division II à trois groupes (centre, ouest, est) de 16 clubs.

Ce schéma, pas de clubs ni ligue pro, sera avantageux pour les clubs de la division II puisqu’il n’y aura pas de rélégation en fin de saison. Seul le champion accédera en division I la saison prochaine.

Au plan administratif, si clubs pros il y aura, cela donnera automatiquement naissance à la ligue professionnelle qui gérera la compétition de cette unique division.

La division I et la division II seront gérées par la ligue nationale. Les calendriers de la saison prochaine (2009-2010) sont déjà prêts et peuvent être publiés à tout instant.

Ce sera fait au plus tard le 13 juillet. Entre temps, les responsables de la ligue nationale ont convié Rabah Saâdane (sélectionneur national) et Abdelhak Benchikha (sélectionneur des Olympiques et des moins de 23 ans) pour étudier le calendrier préétabli par la ligue et ce, pour se prononcer sur le document par rapport au programme de leur sélection respective.

Le cahier des charges que des clubs doivent remplir pour aspirer au statut professionnel est la pierre angulaire du projet porté par la fédération.

Tous les clubs peuvent concourir, peu auront le bonheur de figurer sur la liste des admis. « Le cahier de charges est une extraction de la loi sur les clubs contenu dans les textes de la FIFA », indique un dirigeant de la ligue nationale.

Il y a plusieurs volets dans ce dossier, entre autres, l’aspect juridique, les finances, la gestion des contrats de joueurs… Le passage des clubs au statut pro restera lettre morte sans l’implication de l’Etat.

ESS : La saison 2008-2009 a coûté 44 milliards
Loin de l’exploit réalisé par Ziaya et ses camarades en Coupe de la CAF dimanche dernier, le branle-bas continue au niveau de l’institution ententiste pour la préparation des bilans moral et financier pour l’exercice 2008-2009 avant qu’ils ne passent à l’étape de l’adoption par les membres de l’AG du club. Contacté hier, le trésorier général de l’ESS nous a déclaré qu’en faisant tous les comptes entre les salaires fixes, les primes des joueurs, les prises en charge en dehors de Sétif et tout ce qui a trait au fonctionnement du club, la trésorerie de ce dernier a dû débourser un total de 44 milliards au total pour couvrir toutes les dépenses liées à la saison dernière. Soit 9 milliards de plus par rapport à l’exercice qui a précédé. Un différentiel qui a pu être supporté avec un apport plus conséquent en matière de subventions publiques et de rentrées sur les contrats de sponsoring, ajoute la même source.
Des rentrées de 47 milliards
Si les dépenses du club se sont élevées à un montant de 44 milliards de centimes, les rentrées, elles, ont atteint le seuil de 47 milliards, soit un solde positif de 3 milliards dans la balance financière de l’Entente au titre de la saison passée. Toujours selon le trésorier du club, les rentrées financières pour la saison 2008-2009 ont enregistré un excédent de 20
milliards en comparaison de la saison qui a précédé. Ce chiffre a été réalisé notamment pour 10 milliards au titre de subventions publiques allouées par différentes administrations comme la wilaya qui reste le premier pourvoyeur du club en la matière, l’APC et la DJS, en plus d’un total de 15 milliards tiré des différents contrats de sponsoring passés avec des labels nationaux et étrangers. Le reste des revenus que le club a engrangés provient de la quote-part qui lui revient de droit des rentrées du 8-Mai, de la récompense financière arrivée en retard de l’UAFA au titre de son deuxième sacre en Coupe arabe et du double transfert de Maïza et Serey Die vers l’Arabie Saoudite et la Suisse respectivement. A signaler aussi que le président Serrar a dû contracter des emprunts auprès de proches et autres mécènes du club. Pour la saison qui arrive, on apprend que l’institution ententiste, Serrar à sa tête, se démène dans tous les sens pour ngranger des rentrées immédiates de 12 milliards sur un objectif de 20 milliards pour payer au moins avant le début du Ramadhan la première tranche des primes de signature des joueurs sans oublier les frais du voyage égyptien prévu début août que la trésorerie doit commencer par supporter. Déjà, à côté des promesses d’apport de ceux qui veulent investir le comité directeur, il y les 4 milliards dus sur le titre de champion qui doivent atterrir bientôt dans les caisses du club. / Lebuteur

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combien les subventions nous ont rapporté a la JSK?
mais sinon le budget de l'ESS est quasiment le double de celui de la JSK

j'ai peur qu'ils commencent a prendre le large sur nous sur pas mal de points

alord setif qualifié ou pas ????

d'apré le journale entv es sétif qualifié en 1 positione

kaci a écrit:d'apré le journale entv es sétif qualifié en 1 positione

d'apres le site offciel de la compitition voila le classement

Team	MP	W	D	L	GF	GA	GD	Pts
Enppi (Egypt)	6	3	0	3	13	10	3	9
Entente Setif (Algeria)	6	3	0	3	14	9	5	9
AS Vita Club (RD Congo)	6	3	0	3	7	7	0	9
Santos FC (Angola)	6	3	0	3	3	11	-8	9

et les demi- finales
Enppi-Bayelsa United et Stade Malien – Entente de Sétif.

Non sétif est première: et voila l'article de la caf sur leur site officiel, sétif jouera Bayelsa united et non le stade malien
Nb: l'article est en anglais, mais il vous suffira de lire la dernière pharse pour tout comprendre:
http://www.cafonline.com/competition/confederation-cup_2009/news/3429-dramatic-wins-take-enppi-bayelsa-through.html

kim kan a écrit:

kaci a écrit:d'apré le journale entv es sétif qualifié en 1 positione

d'apres le site offciel de la compitition voila le classement

Team	MP	W	D	L	GF	GA	GD	Pts
Enppi (Egypt)	6	3	0	3	13	10	3	9
Entente Setif (Algeria)	6	3	0	3	14	9	5	9
AS Vita Club (RD Congo)	6	3	0	3	7	7	0	9
Santos FC (Angola)	6	3	0	3	3	11	-8	9

et les demi- finales
Enppi-Bayelsa United et Stade Malien – Entente de Sétif.

c'est bizar moi je les copier dans le méme site ce matin

Saïb futur directeur sportif
Par : Rachid Abbad/Liberté

Nous avons appris de sources proches du club que Moussa Saïb est fortement pressenti pour occuper le poste de directeur sportif de l’ESS. Un premier contact a été déjà établi entre les deux parties, la veille du départ de l’Entente à Casablanca. À Sétif, on souhaite bien profiter de l’expérience professionnelle de l’ancien capitaine des Verts pour contribuer à la réorganisation de la section football, d’autant que l’équipe s’apprête à passer au professionnalisme. En tout cas, la très probable arrivée de l’ex-Canari devrait donner un autre élan au double champion arabe. Sachant au passage qu’il entretient de très bons rapports avec le président Serrar, son ex-coéquipier en équipe nationale, cette entente donnera davantage d’atouts à l’Entente.

Voilà un président qui sait ce qu'il fait..
Je ne l'aprécie pas du tout mais j'aime sa façon de gere son équipe.
Hein Hannachi, pourquoi ne prends tu pas exemple sur ton camarade ?

toulousain a écrit:Voilà un président qui sait ce qu'il fait..
Je ne l'aprécie pas du tout mais j'aime sa façon de gere son équipe.
Hein Hannachi, pourquoi ne prends tu pas exemple sur ton camarade ?

j admire bcp son travail mais ts ce qu il a fait c etai grace au pouvoir et a la willaya de sitif
qui depence des milliards sur l entente

Serrar révèle
“Madjer n’entraînera pas l’Entente”
Par : Rachid Abbad/Liberté

Le président Serrar, avec lequel on s’est entretenu sur l’éventualité de la venue de Rabah Madjer à la barre technique de l’Entente de Sétif, a bien voulu nous parler des contacts qu’il avait eus avec l’ex-star de Porto : “Effectivement, nous avons parlé ensemble au téléphone, car Rabah est un ami de longue date et n’oubliez pas qu’on a gagné ensemble la CAN 1990. On a gardé de très bons rapports.
Je lui ai parlé de mon projet et de ma vision future pour l’Entente. Il m’a clairement signifié qu’il ne veut pas me perdre en tant qu’ami et qu’il préfère qu’on en soit ainsi le plus longtemps possible. Il m’a dit au cas où, par exemple, il sera à la barre technique de l’ESS et que les résultats ne seront pas bons, je serais donc obligé de le limoger. Chose qui nous obligera à rompre définitivement nos relations. J’ai donc compris sa position qui était du reste très logique. Donc, Ali Mechiche continuera sa mission avec nous et aucun autre entraîneur ne sera donc contacté. Nous avons au demeurant entière confiance en notre coach qui fait du bon boulot.”

De l’autre côté de la mer,Le miracle Villareal
Si un miracle est quelque chose d’instantané, quelque chose qui a lieu en une fraction de seconde, on ne pourrait pas dire que Villareal est un miracle.

Il a, par contre, le même effet ou plus d’un miracle qui perdure depuis des années. En dehors de l’Espagne, personne ne sait que cette petite ville se situe au bord de la mer, pas loin de la mégapole Valence, une ville où vivent à peine 50.000 habitants. Personne ne sait qu’historiquement, c’est un club habitué à jouer le maintien en 4e division pour ensuite, par la main du président Fernando Roig, ‘Le sous-marin jaune’ a, en 11 ans, réussi une ascension fulgurante qui l’a mené jusqu’à la première place de la Liga. Le miracle a duré 10 ans. Dans son stade, sont passées les meilleures équipes du Vieux continent et en son sein ont évolué des joueurs de la trempe de Riquelme, Palermo, Pires, Forlán, Belletti, Reina… Le club a remporté l’Intertoto en 2003 et 2004, il a été vice- champion d’Espagne en 2008 et a atteint la demi-finale de la Ligue des champions en 2005. Ce jour-là, Riquelme a raté un penalty qui aurait éliminé Arsenal et offert aux puristes une finale Villareal-Barça à Paris. Cette équipe de village venait de toucher le ciel à cette période. Un équipe d’un village de 50.000 habitants regardait l’Europe de haut avec un orgueil pas du tout usurpé.
L’été dernier, Florentino Pérez a vidé sa caisse XXL pour voir courir Kaká, Ronaldo et Benzema au Bernabeu. Une partie de cet argent est partie à Villareal. Et ce n’était pas pour recruter des joueurs. C’était plutôt l’échec du recrutement d’Arsene Wenger qui a conduit le tout-puissant Real à prendre Mauricio Pellegrini, ancien commandant du sous-marin jaune pour piloter le transatlantique blanc.
Le vide laissé par Pellegrini a été pallié par Ernesto Valverde qui, après ses succès avec l’Espanyol, a remporté le championnat grec à la tête de l’Olympiakos. L’effectif est pratiquement le même, mais la dynamique est complètement différente. Villareal est passé d’un outsider de la Ligue des champions à un simple faire-valoir de la Liga en passant son temps en bas du tableau. Une équipe pourtant remplie d’internationaux, mais qui se contente de suivre d’en bas le coude à coude entre le Real et le Barça, la valse des entraîneurs à l’Atlético et la lutte avec soi-même du voisin Valence… la vie continue, mais le sous-marin se noie avec des années de gloire.
Son sauvetage est entre les mains des mêmes garçons qui l’ont placé à la cinquième place et aux portes de la Ligue des champions la saison passée.


Par : Gonçal Pérez

une partie d'un article paru dans Liberté sur la suprématie du football égyptien:

L’armée et le pétrole comme acteurs
Le championnat local renferme 16 clubs, où deux clubs se distinguent du lot de par leur spécificité et leur histoire. Évidemment, il s’agit d’Al-Ahly du Caire, désigné comme le meilleur club africain de tous les temps, et le Zamalek. En Égypte, on affirme que 45% de la population supportent le premier, 30% le second, et les autres clubs se partagent le reste. Les 14 autres clubs, formant le championnat local, sont dans leur majorité, soit des clubs appartenant à des structures “spéciales”. Les sociétés pétrolières (représentées entre autres par Ennpi et Petrojet), l’entreprise de travaux publics bien connue à Alger (ses ouvrages les plus connus sont les structures du ministère des Finances à Ben Aknoun), Arab Contractors et surtout l’armée. Cette dernière est entrée en force ces dernières années dans le football égyptien. Son rôle dans le sport roi a été toujours prépondérant au passé.
D’acteur invisible et fort, l’armée est devenue beaucoup plus présente et a fait une entrée fracassante dans l’arène footballistique. Elle est également derrière la construction de plusieurs stades dans plusieurs régions du pays et il faut s’attendre à ce que ses clubs viennent concurrencer les deux ténors suscités. Pour la gestion des clubs, il y a un énorme décalage avec ce qui se fait en Algérie. Si au pays des “Guerriers du désert” on n’entend parler que des pouvoirs immenses des présidents et de leurs incessantes réclamations auprès des pouvoirs publics pour recevoir des subventions, en Égypte les choses sont tout autres.
Il y a avant tout dans chaque club un conseil d’administration. C’est lui qui décide de tout avec à la clé la gestion de nombreuses infrastructures sous sa tutelle. Pour les moyens, la quasi-majorité vit grâce à l’argent des sponsors et des droits de retransmission. La prolifération des télévisions privées, ces dernières années, a ramené avec elle une importante manne d’argent dans les caisses des équipes.

Le fer de lance du football égyptien
Parler de football au pays des Pharaons est impossible sans citer Al-Ahly et le Zamalek. À eux seuls, ils comptabilisent 45 championnats (34 pour le Ahly et 11 pour le Zamalek), et 23 Coupes africaines (14 et 9 respectivement). La rencontre entre ces deux équipes est considérée au pays comme le “classico” suprême et à chaque fois les gradins sont remplis. D’ailleurs, l’ossature de l’équipe nationale a été de tout temps formée des éléments des deux teams. Parmi les 25 que Shehata a convoqués pour le match du 14 novembre, 11 joueurs en sont issus.
Cependant, la situation actuelle d’Al-Ahly et du Zamalek est bien différente. Si le premier est le détenteur des cinq derniers titres de champion, le second est englué par une crise profonde qui l’ébranle fortement. À l’arrêt de la compétition (à cause des préparatifs du match du 14 novembre) le Ahly se trouve à la tête du classement (avec 20 point en 8 journées) alors que le Zamalek n’est que 8e à 9 points déjà.
À leur tête, il y a deux personnalités connues sur la scène hors football. Le président d’Al-Ahly est Hassan Hamdi. Son autre “chapeau” n’est rien d’autre que celui de président du conseil d’administration d’Al-Ahram, le plus grand quotidien du pays. Son adjoint n’est autre que l’ancienne star des années 1970-80, l’emblématique Mahmoud El-Khatib. Ce duo semble bien réussir dans leur mission malgré de nombreux “couacs”. Le dernier en date est le départ, l’été dernier, de l’entraîneur portugais, José Manuel, artisan des résultats historiques des précédentes années, et du buteur angolais Flavio. Le coach a été remplacé au pied levé par son adjoint, Hossam Badoui.
Ce dernier, âgé de 50 ans, est très estimé par les foules ahlaouies, et ses résultats, jusqu’à maintenant, sont venus les conforter. Le départ de l’international angolais a aussi été fructifié puisqu’il a été vendu à un club du Golfe pour 5 millions d’euros. Une excellente affaire étant donné que le joueur n’avait coûté, à son arrivée, que 500 000 euros. Le président du Zamalek, en revanche, est Mamdouh Abbas, un richissime homme d’affaires versé dans le pétrole. Sa gestion du club est très critiquée surtout à cause de l’entraîneur français du club, Henri Michel, qui ne fait plus l’unanimité. Pourtant dans l’effectif, on retrouve les deux superstars internationales, les enfants terribles du football égyptien, Amr Zaki et Midou, mais malgré cela ni les résultats ni la sérénité ne sont au rendez-vous

Jeunes : Le travail de fond des éducateurs

Aucun bruit sur le petit stade d'Alger, si ne n'est celui des chocs sur le ballon et parfois, les conseils de l'éducateur: aucune indiscipline ni incartade n'est tolérée au Form-foot, école de formation pour poussins et benjamins fous de football.

Un climat serein qui tranche avec la violence qui se déchaîne chaque week-end sur les terrains algériens, où les supporteurs n'hésitent pas à s'affronter en véritables batailles rangées, sortant manche de pioche et même armes blanches. « Je ne me considère pas comme un entraîneur mais comme un éducateur », explique Rachid Meziane, ancien international algérien qui encadre bénévolement les enfants en cette matinée de novembre et pourtant printanière. Le petit stade municipal de Sfindja, installé sur les coteaux d'El Biar, un quartier des hauteurs d'Alger, est presque intime et en excellent état avec sa pelouse artificielle immaculée. Deux équipes de neuf petits joueurs se disputent le ballon, tous concentrés sur l'action, car la moindre faute est sifflée. « Nous sommes le prolongement de l'école. +Si tu ne peux être un joueur de football, sois un homme!+ pourrait être notre devise », ajoute Rachid Mezian. Son homonyme - mais sans aucun lien de parenté - Youcef Meziane, lui aussi éducateur de Form-foot et ancien international, explique: « Nous leur apprenons les valeurs que nous estimons fondamentales, dont le respect de l'autre. Il est inadmissible de voir des joueurs contester systématiquement l'arbitre pendant les rencontres du championnat national ».

« La violence et l'indiscipline ne sont pas non plus tolérables», dit le président de l'école, Lahlou Ben Ramdane, pour qui « un joueur de football ne vit pas dans un monde à part, il fait partie intégrante de la société ». Sur la pelouse pendant les trois séances d'entraînement hebdomadaires ou pendant le reste de la semaine, ce centre exige donc de ses quelque 200 poussins et benjamins une attitude exemplaire. « Certains parents sont d'ailleurs venus me remercier: leurs enfants avaient fait beaucoup de progrès à l'école depuis qu'ils avaient intégré Form-foot », confie en souriant Rachid Meziane. Et pour cause: les élèves doivent montrer leur bulletin de notes chaque trimestre, et peuvent être privés temporairement d'entraînement en cas de mauvais résultats scolaires. « La pire des punitions », avoue Yacine, 12 ans. Mais le football reste forcément au centre des préoccupations des entraîneurs-formateurs. « Le football algérien pêche par le manque de cette formation, les clubs ne s'en préoccupent pas alors que c'est la base de tout. On ne devient pas un bon joueur sans avoir souffert dans sa jeunesse pendant les entraînements », explique Rachid Meziane. Depuis neuf ans que l'école existe, les deux Meziane ont vu passer bien des poussins et benjamins. « Mais certains jouent maintenant à El Harrach, au CRB ou au Mouloudia d'Alger », les grands clubs de la capitale, assurent ces cadres du ministère de la Jeunesse et des Sports. Leur souhait: participer au renouveau du football algérien, tout auréolé de la qualification des Verts au Mondial 2010, durement acquise lors d'un match d'appui le 18 novembre contre l'Egypte dans un climat d'extrême tension à Khartoum.

AFP
23/11/2009

Boualem Mankour, entraîneur en RDC


Tout juste sacré champion d'Afrique avec le TP Mazembe, Diego Garzitto n'est pas le seul représentant du football français à Lubumbashi. Le FC Lupopo, club rival de Mazembe, est en effet dirigé par le Franco-Algérien Boualem Mankour, qui disputera lui aussi la prochaine C1 africaine. Découverte.

« Boualem, dans quelles circonstances avez-vous atterri au FC Lupopo ?
C'est le hasard qui a fait les choses. Un ami du Stade Rennais était proche de Faustin Bokonda, le président de Lupopo. Il nous a mis en rapport. J'ai d'abord exercé de 2007 à juillet 2008. J'ai commencé à Lumpas, un club satellite de Lupopo avant de rejoindre ce club. Et on m'a rappelé en octobre. Le président est venu me chercher chez moi, à Nancy ! J'aime profondément le football africain. En France, on ne m'avait pas vraiment donné ma chance.

Quel est votre parcours ?
J'ai 40 ans, et je suis passé par le football breton au niveau amateurs, avant de partir à l'étranger. J'ai coaché les Turcs de Sakaryaspor en D2, j'ai entraîné le KAC Kénitra (D1 marocaine), ainsi qu'à l'AS Gabès et brièvement au Stade Gabésien (D2 tunisienne). C'est mon 2e passage à Lupopo.

« On ne fera aucun cadeau au TP Mazembe cette saison »
Quelles sont vos ambitions pour 2010 ?
On veut remporter la Linafoot, c'est-à-dire le Championnat national, et aller le plus loin possible en Ligue des champions d'Afrique, pour laquelle le club s'est qualifié. L'idée, ce serait de jouer les poules finales.

N'est-il pas trop difficile de vivre dans l'ombre du TP Mazembe, champion de RDC et vainqueur de la dernière Ligue des champions d'Afrique ?
Non, pourquoi ? Lors de mon premier passage, Lupopo avait plutôt fait de l'ombre à Mazembe, d'ailleurs ! Je n'ai perdu aucun derby lushois contre Mazembe jusqu'à aujourd'hui. Pour le titre, bravo à eux. Qu'ils en profitent ! On ne leur fera aucun cadeau cette saison.

Comment recrute-t-on pour être au niveau ?
On recrute national et africain. Il ne faut surtout pas se tromper pour la C1. Ce qui a fait la force de Mazembe, c'est de garder des cadres depuis cinq ans avec un vécu africain. Nous avons signé un Zambien de l'AS Marsa (D1 tunisienne), on a le retour du gardien Mutshipayi (ex-Zesco Utd, D1 zambienne). Pour le reste, des joueurs de Kinshasa, Kisangani ou Mbuji Mayi.

« Un derby lushois, c'est de l'ordre d'un OM-PSG »
A combien émarge un joueur de Lupopo ?
Les salaires n'ont rien à voir avec Mazembe (plusieurs milliers de dollars, ndlr). A Lupopo, on a instauré des barèmes en fonction de la participation aux compétitions. Un bon joueur ici peut toucher entre 500 et 1000 dollars, hors primes.

C'est quoi au juste, un derby à Lubumbashi ?[/b]
Au niveau pression populaire, c'est de l'ordre d'un OM-PSG. Vraiment ! Au niveau foot, cela ressemble à une affiche anglaise, sur le plan de l'engagement.

Où situeriez-vous Lupopo par rapport à un club français ?
Ce serait un club équivalent à un milieu de tableau de L2, techniquement et individuellement. Mais pas collectivement. ».

Recueilli par Frank Simon à Lubumbashi
francefootball.fr

Bekakchi et Belkadi ont signé jeudi à l'ESS
C’est un très joli coup qu’a réalisé la direction sétifienne jeudi dernier en matière de recrutement. Et pour cause, les jeunots Bekakchi et Belkadi, qui ont récemment pris part à la Coupe du monde des U17 ans au Nigeria, ont signé chacun un contrat d’une durée de quatre ans. / Lebuteur

aussi, voila l'effectif qui a joué les 32eme de finale de coupe d'algérie
Benmalek, Zoubiri, Yekhlef, Diss (Benchadi 46'), Meguenni, Bouderbal, Kacem, Metref (Kaddour 39'), Ambane (El Amri 56'), Hadj Aïssa, Kadri

la majorité sont des juniors dont Kadri qui a marqué 4 buts

voila une partie d'un article paru dans compétition
(...)les dirigeants de Montpellier viennent officiellement de rompre les négociations avec le sociétaire de l’ESS, Khaled Lemouchia, après avoir reçu un appel de leurs homologues de Sochaux leur déconseillant de poursuivre les pourparlers avec les dirigeants sétifiens. C’est le directeur sportif de Montpellier, Michel Rézy, qui a confié à son entourage que les responsables de Sochaux l’ont contacté pour lui demander de geler les contacts en lui arguant qu’ils ont affaire à un club instable. Ils lui ont ajouté que les Montpelliérains pourraient être confrontés à la même situation qu’eux. C’est un coup dur et pour le joueur et pour le club, surtout lorsqu’on sait que même le Mans, qui était intéressé par les services du gardien Fawzi Chaouchi, a décidé à son tour d’interrompre les contacts. (...)

la solidarité francaise ou quoi ??

Tarakos a écrit:la solidarité francaise ou quoi ??

mouais
disons que je crois à moi cette article
mais par contre il est sur qu'encore une fois cette affaire démontre, si besoin est, qu'on est pire que des amateurs, quant à Serrar n'en parlons pas, pire qu'un Dji3ane

lajsk doit prendre comme exemple sétif qui est entrain de dimminer le foot en algérie,je crois meme que ess fait de l'ombre à la jsk. sétif si elle continue sur cette lancée ils ne cont pas tarder a gagner la coupe d'afrique de clubs je dirai tant mieux pur le foot algérie.la jsk na qu'a suivre la cadence parce que la on sent que setif ettoufe la jsk.